Une curiosité à satisfaire

Akir était absent depuis un bout de temps deja, la semaine était passé. Siké avait accepté de s'allier a l'Ordre*Noir. De nouveau elle était seule avec trois enfants à sa charge. Elle avait confiance en son mal...ou elle ne voulait pas croire qu'elle doutait. Au fond elle ne le connaissait peut etre pas si bien. Les details qu'il lui avait donné sur sa vie était flou. Elle avait dit qu'elle attendrait autant de temps qu'il le faudrait, mais attendre n'est pas si simple qu'il n'y parrait...
Si sa bonne humeur se degradé de jour en jour avec l'inquietude, elle faisait aussi grandir la curiosité de la louve. Elle avait promit, mais lui non plus n'avait pas tenu sa parole. Alors profitant du sommeille de ses enfants, elle s'approcha du sac qui gardait les affaires d'Akir. Elle était sa louve, elle avait le droit de savoir après tout.
Elle ouvrit le sac et observa son contenu esperant y trouvait des reponses...

Le sac d’Akir était plus une simple sacoche pas très épaisse. Elle contenait étrangement beaucoup de parchemin, de lettres attachées avec un ruban et d’affiche. Les parchemins étaient pour la plus part des croquis, des dessins. Des représentations d’Akir avec une enfant humain dans les pattes ou encore avec une autre louve. Les annotations était illisible car le lycan c’était appliqué à les faires disparaitre à coup de griffe. Un de ses portraits été également entièrement déchirait, comme si il avait éprouvé de la haine envers son propre portrait. Les lettres quand à elle venait toute du même destinataire une certaine Chaowei.

« Cher Lavaan,
Je ne sais comment vous remercier de ce que vous avez fait. Je vous serai éternellement reconnaissante de nous avoir ainsi sauvés, car je n’ignore pas la haine que vous pouvez éprouver envers nous. Je ne sais pas si cela est approprié mais je tiens à vous souhaiter mes sincères condoléance. Ne voyez pas là une manière de vous faire souffrir ou de vous narguer, ce n’es rien de tout cela. Je sais ce que la perte d’un être chère peut infliger comme souffrance, alors je me doute que vous avez dut doublement souffrir. Après si nous ressentons les mêmes souffrances, cela ne veut-il pas dire que nous sommes pareils voir des semblables ? La barbarie des hommes est tels que les hommes eux même en souffre….Enfin je ne veux pas vous ennuyer avec un tels débats.
Une fois de plus je vous présente mes sincères remercîment, en espérant pouvoir vous rendre ce que vous m’avez apporté.
Au plaisir d’une prochaine rencontre dans les bois.

Chaowei et Li »

Les autres n’était pas vraiment intéressante de part le contenue, à part peut être la dernière.

« Akir,

Je dicte cette lettre à Li qui se charge de l’écrire pour moi. Car maintenant je ne peu plus le faire. Je t’en prie ne te blâme pas ce n’es pas de ta faute, ceci est entièrement de la mienne. Après tout je n’aurai jamais dut venir si souvent au camp pour te voir. Je n’y étais pas à ma place et cela à dut te causer pas mal d’ennuis, car j’ai dut oublier ton statut de mâle dominant. Or recevoir les visites répété d’une humaine et de sa fille n’ont pas dut être bien vue de tes semblables. Peut être me suis-je trompé, peut être qu’il était encore trop tôt pour créer une alliance amicale. En tout cas je mérite ce qui m’ait arrivé, mais je sais que tu ne cesseras pas de te sentir responsable. Mais je ne lui en veux pas, ton frère m’avait prévenue après tout et tant pis pour moi si je ne l’ai pas écouté. Malheureusement je sais les ennuis que cela ta attirait et je m’en sens responsable. Peut être aurai-je dût simplement m’arrêter à ma première lettre. J’espère également qu’un jour tu me pardonneras.

A bientôt

Chaowei »

Les lettres pouvaient soulever beaucoup de question sur le passé d’Akir. L’affiche quand à elle était à moitié déchiré mais on pouvait encore y lire
« Ce soir venez vois le chien-loup sauvage savant, 5 pièce d’or l’entrée… »
Au fond du sac se trouver également trois balles de cuirs déchiquetait, une poupée de chiffon en peau de lapin pour enfant, ainsi quelques bijoux. Qui composé une parure dont on peu voir qu’Akir l’a porte sur l’un des croquis.

Skia prit le temps de tout regarder attentivement. Le coin du sac était devenu un bazare ou tout était éparpillé un peu autour d'elle, d'un coté tous les croquis, de l'autre toutes les lettres. Cette Chaowai devait etre l'humaine dont il lui avait parler, celle qui hanter surement encore ses pensées, celle qu'elle voulait un jour lui faire oublier, comme elle avait oublier Altar...
Si ces lettres n'apprennait pas grand chose en elle même, elles semblaient soulever des sujets qu'Akir n'avait pas evoquer avec elle. Elle s'en sentit frustrée, mais d'autant plus curieuse.
Malheureusement, elle ne trouva rien qui puisse l'aider plus que ca a le retrouver...Ni a comprendre. Peut etre tout de meme ces lettres permettaient de le comprendre mieu. Car elle savait qu'elle ne le connaissait pas si bien que ca, elle ne savait pas ce qu'il se passait dans sa tête, son air un peu ailleurs prouver qu'il allait souvent se refugier dans ses pensées.
Il lui manquait...ennormement, et ces lettres n'avaient qu'empirer la chose au fond...Cela faisait maintenant trois semaines qu'il était partit, il lui en avait demandé une...
Allait elle de nouveau être seule ? Allait elle perdre encore son male ? Pour la quatrieme fois...
Alors qu'elle commecait a ranger les affaires, quelques goutes lui tombant des joues vinrent marquer leurs passage sur certains parchemins...